Nouveaux membres 2022

Doctorant.e.s

20221114_Barthet_portrait Laure Barthet

Conservateur en chef du patrimoine en spécialité Archéologie, elle dirige le musée Saint-Raymond, musée d’Archéologie de Toulouse. Sous la direction de Florent Hautefeuille et de Laurent Macé, elle entreprend en première année de thèse la reprise de ses travaux de recherche sur les aspects militaires de la croisade albigeoise et plus particulièrement sur le siège du castrum de Montségur (Ariège).
Montségur présente en effet le double intérêt, quasi exceptionnel, de rassembler un fonds textuel riche et des données archéologiques relatives au combat, en contexte. Le siège de 1243-1244 peut ainsi faire l’objet d’une nouvelle approche reposant sur la mise en relation de ces deux types de sources. Son sujet Combattre à Montségur s’inscrit donc à la croisée de plusieurs modes d’investigation (fortification, archéologie du champ de bataille, nouveau regard sur les textes, étude du mobilier, etc.). Il repose sur deux masters (2005, 2006), quelques publications (2006-2019) et s'inscrit également dans le contexte d’une double exposition en 2024 portée par le musée Saint-Raymond : Cathares ? au couvent des Jacobins et "Cathares" : Toulouse dans la croisade au musée Saint-Raymond.

laure.barthet@mairie-toulouse.fr

Louise Derbord 20221114_Derbord_portrait

Ses travaux, encadrés par Sandrine Costamagno et Thomas Perrin, portent sur les dynamiques d’occupation et les systèmes d’exploitation de la montagne alpine au Mésolithique, étudiés sous l’angle de l’archéozoologie. Elle va interroger l’existence de pratiques cynégétiques distinctes au sein d’un même environnement de montagne entre le Premier (Xe millénaire cal. BC - milieu VIIe millénaire cal. BC) et le Second Mésolithique (milieu VIIe millénaire cal. BC – VIe millénaire cal. BC). L’objectif est notamment de savoir s’il existe des corrélations entre les transformations notées dans les industries lithiques (techniques de débitage, forme des armatures, apparition d’outils et spécialisation de leur fonction) et les stratégies de chasse, les pratiques bouchères mais également dans la façon d’occuper les sites et les territoires. Elle va également chercher à mieux caractériser les modalités d’exploitation et d’occupation des territoires de montagne, puisque leur conquête est un fait marquant du Mésolithique. Elle va ainsi réaliser une étude archéozoologique des vestiges retrouvés dans l’abri sous roche de la Grande Rivoire (Isère, France) dont les niveaux archéologiques recouvrent toute la période du Mésolithique. Les données obtenues seront ensuite confrontées à des données dans les Alpes et ses marges, avec l’étude du site de la Baume de Montclus (Gard, France) afin de questionner l’existence de pratiques différentes dans des contextes distincts et dans le temps.

louise.derbord@gmail.com

20221114_DeRoux_portrait Anaïs De Roux

Ses travaux, encadrés par Sandrine Costamagno et Pierre-yves Milcent portent sur l’alimentation mais aussi plus largement sur l’économie et l’utilisation des animaux dans les sociétés palafittiques de l’âge du Bronze final (XIIIe – IXe s. av. n. è.). Ces sites agglomérés sur les bords de lacs alpins témoignent d’un phénomène de densification de l’habitat sans précédent. Une certaine complémentarité économique semble, de plus, exister entre différentes stations voisines, perçue par le prisme du mobilier céramique et métallique. La possible appartenance à une même communauté laisse entrevoir une société avec un degré de structuration et de complexité important, dont l’économie vivrière reste pourtant relativement méconnue. Cette recherche doctorale a donc pour objectif de mieux comprendre les implications de l’économie animale dans le fonctionnement intra- et inter-sites des habitats palafittiques agglomérés à la fin de l’âge du Bronze final, et ce au travers de l’étude archéozoologiques de huit sites clés : Conjux 1 (lac du Bourget, Savoie), Châtillon (lac du Bourget, Savoie), Grésine Est (lac du Bourget, Savoie), Grésine Ouest (lac du Bourget, Savoie), le Saut (lac du Bourget, Savoie), Duingt/Ruphy (lac d’Annecy, Haute-Savoie), Tougues (lac d’Annecy, Haute-Savoie) et Véreître (Chens-sur-Léman, Haute-Savoie).

anais.de-roux@etu.univ-tlse2.fr

20221114_Eng_portrait Tola Eng

Tola ENG est cambodgien. Il a obtenu sa licence d'Archéologie à l’université Royale des Beaux-Arts du Cambodge et une licence d’Informatique (IT) à l’Institut Sectec en 2018. Ensuite, il a obtenu son Master dans le cadre du projet Manusastra, qui est une collaboration entre Université Royal des Beaux-Arts du Cambodge et l'INALCO de Paris entre 2020 et 2022. Il travaille sur l’archéométallurgie du fer dans le Cambodge ancien. Ses recherche de master 2 lui ont donné l’opportunité de développer des connaissances nouvelles sur la métallurgie khmère. Il poursuit désormais ses études en doctorat, dont le titre est Les forges d’Angkor (Cambodge) : Du geste technique à l’identité des artisans forgerons (IXe-XVe siècle), réalisé sous la direction de Caroline Robion-Brunner et Stéphanie Léroy. Son sujet de thèse s’intéresse aux étapes de post-réduction (forge), activités clefs de la chaîne opératoire du fer, et entend en particulier s’intéresser aux différents aspects (technique, économique, social, culturel) de la forge dans le Cambodge angkorien. Il cherchera à caractériser, non seulement l’ensemble des techniques et des actions (gestes, degré de technicité, organisation du travail) qui impliquent la transformation du métal disponible sous forme brute au sein d’ateliers de forge, mais aussi l’identité et le statut social des acteurs dédiés à ces activités. Il entend également documenter la place de ces ateliers à l’échelle de l’organisation socio-économique du royaume angkorien et, par-là, les liens développés entre les producteurs et les consommateurs à travers ces intermédiaires que sont les forgerons. Ainsi cette recherche exige de s’intéresser à des sources et à des données disponibles à deux échelles : à l’échelle locale, c’est-à-dire celle du site, pour l’étude des vestiges d’une même chaîne opératoire, et à une échelle spatiale plus large, pour une analyse comparative des données.

engtola201477@gmail.com

20221114_Ferri_portrait Sandy Ferri

Elle rentre en première année de thèse sous la direction de Claire Manen et Jessie Cauliez et va étudier la céramique du Néolithique final du sud-est de la France, plus précisément la culture de Ferrières. En parallèle, elle a aussi travaillé sur la décoration des céramiques du site de Tell el-Iswid (Égypte, Delta oriental) et, lors de son master, elle a pu étudier deux collections de la République de Djibouti : Antakari Nord-Est et Hedaito le Dora, d'un point de vue décoratif et technologique. L'axe de réflexion de sa thèse s'oriente vers des nouveaux questionnements (grâce aux nouvelles recherches) concernant la valeur de la pertinence des caractères déterminants une série comme Ferrières, mais également comment le reconnaître (critères les plus déterminants) car celui-ci n'a pas de caractères bien définis et récurrents. L'étude portera sur un corpus composé du matériel des sites du TaÏ, de Roquemengarde, de Limon-Raspail et du Collet Redon.

ferri.sandy@yahoo.fr

20221114_Khoeus_portrait Phanhareth Khoeus

Il a été étudiant au sein du Département d’Études Francophones à l’Université Royale de Phnom Penh et de la Faculté d’Archéologie de l’Université Royale des Beaux-Arts, au Cambodge, entre 2014 et 2019. Par la suite, il a intégré le master recherches Mondes Médiévaux au Département d’Histoire, Histoire de l’art et Archéologie de l’Université Toulouse – Jean Jaurès, de 2019 en 2021. Son mémoire a porté sur le temple d'Ek Phnom dans la province de Battambang et a été réalisé sous la direction de Nelly Pousthomis et Chandevy Sisowath Men. Toujours intéressé par les constructions religieuses, il a postulé auprès de l'école doctorale TESC pour un doctorat dans le cadre de la coopération entre la Région Occitanie et la Province de Battambang, au Cambodge. Sa thèse s’intitule : Les monastères bouddhiques de la province de Battambang : archéologie, topographie et architecture. Contribution à l’Inventaire patrimonial. Elle est réalisée sous la direction de Florent Hautefeuille et Chandevy Sisowath Men.

Phanharethkhoeus@gmail.com

20221114_Vacca_portrait Valentina Vacca

Sa thèse, menée sous la direction de Nicolas Teyssandier et Marco Peresani, s'intéresse à la diversité comportementale de groupes néandertaliens qui mettent en œuvre un même savoir-faire technique. Le système de production Discoïde est abondamment attesté dans toute l'Europe durant les 25 000 ans qui précèdent l'extinction de Néandertal, partagé par des groupes évoluant dans des écosystèmes variés qui ne mettent pas à disposition les mêmes ressources. Cela interroge nécessairement sur l'homogénéité des groupes qui possèdent une tradition technique commune. Mènent-ils les mêmes activités quotidiennes ? Emploient-ils les mêmes gestes lors de l'utilisation de leurs outils ? Mettent-ils en œuvre ce système de production pour satisfaire les mêmes objectifs fonctionnels ?
C'est au prisme de la tracéologie, de la morphométrie, de l'expérimentation et de l'analyse de résidus que ces questions seront explorées dans le cadre de sa thèse, en interrogeant les choix fonctionnels de différents groupes. L'étude de sites issus de deux régions distinctes, à savoir le sud-ouest de la France et le nord de l'Italie, comprenant principalement Le Moustier (Dordogne), Combe-Grenal (Dordogne), Saint-Césaire (Charente-Maritime) et Fumane (Vénétie), aura pour but d'évaluer le lien, ou l'absence de lien, entre variabilité comportementale et environnementale.

v.valentina98@hotmail.fr

Stagiaires doctorant.e.s

20221114_Shveygert_portrait Ekaterina Shveygert

She graduated with a Degree in History with specialization in archaeology from the University of Novosibirsk (Russia) and then she pursued a MA degree at the University of Zaragoza (Spain), where she is currently studying her PhD within the Doctoral Program in Heritage, Societies and Frontier Spaces. The main topic of her doctorate is the study of the lithic technology of the Middle Palaeolithic sites from both sides of Pyrenees - the Spanish archaeological sites Gabasa, Roca San Miguel, Abautz and French ones: Gatzarria and Grotte du Noisetier under the supervision of Prof. Lourdes Montes Ramirez. At the Université Toulouse 2 – Jean Jaurès she is carrying out an academic stay under the direction of Marianne Deschamps to study the lithic assemblage from the above-mentioned French sites.

shveygertekaterina@gmail.com

Post-doctorant.e.s

20221114_Borao_portrait Maria Isabel Borao

María I. Borao Álvarez es doctora en Prehistoria por la Universitat de València. Su investigación versa sobre el estudio de la tecnología ósea tardiglaciar del suroeste europeo, centrándose en la caracterización de los esquemas operativos empleados en la transformación del hueso y el asta para la elaboración de herramientas y armas, prestando especial atención a aspectos paleoecológicos y culturales en la transición Solutrense, Badeguliense y Magdaleniense Los yacimientos contemplados hasta el momento pertenecen a la facies cultural mediterránea ibérica como Parpalló, Cendres, Hort de Cortés-Volcán del Faro o Nerja. En la actualidad estudia, bajo la dirección de Jean-Marc Pétillon, el Solutrense, el Badeguliense y el Magdaleniense francés de Abri Fritsch, Abri Lachaud y Cuzoul de Vers.

M.Isabel.Borao@uv.es

20221114_CURRAS_portrait Brais X. Currás

Diplômé de l'USC, Brais X. Currás a développé sa recherche doctorale à  l'IH du CSIC, au sein du groupe Structure Sociale et Territoire - Archéologie du Paysage (EST-AP). Après avoir soutenu sa thèse en 2014, il rejoint le CEAACP de l'Université de Coimbra. Depuis 2020, il travaille comme chercheur à l'IH du CSIC dans le cadre du programme d'attraction des talents de la Communauté de Madrid.
Ses recherches ont porté sur l'étude des transformations sociales et territoriales des communautés indigènes du nord-ouest de la péninsule ibérique entre l'âge du Fer et l'intégration à l'Empire romain du point de vue de l'archéologie du paysage. Il a porté une attention particulière aux paysages miniers et dirige actuellement le projet AVRARIA, qui vise à étudier l'extraction de l'or en Hispanie.

brais.curras@cchs.csic.es

20221114_Galo_portrait Giulia Gallo

Giulia has recently finished her doctoral thesis at the University of California, Davis on a zooarchaeological perspective of Neanderthal fire using behaviors. Giulia utilizes burnt and heated fauna to extrapolate information about the burning conditions of archaeological fires, with the overall goal to better describe and understand hominin fire use. She has studied several Neanderthal Middle Paleolithic fire features with traditional zooarchaeological methodologies as well as spectroscopic techniques, such as FTIR-ATR and XRD, to describe the chemical and structural changes to thermally altered bone. Giulia’s research also has a large experimental component, investigating the impact of burning temperatures, duration, and how heat travels through substrates on faunal assemblages. Giulia is a recipient of a Fyssen Foundation Post-doctoral study grant to continue her research on Neanderthal fire technology at the TRACES lab under the direction of Emmanuel Discamps, specifically to study the burnt Middle Paleolithic faunal assemblages of Le Moustier. She is very excited to contribute to the work being done by the Le Moustier team!

gtgallo@ucdavis.edu

20221114_Sigari_portrait Dario Sigari

Les activités de recherche qu'il mène dans le cadre de son post-doctorat se concentrent d’une part sur l’étude de l’art pariétal et mobilier du Paléolithique supérieur de la Méditerranée centrale (Italie) et du Caucase (Gobustan, Azerbaïdjan) et d’autre part sur la production graphique rupestre Holocène en Italie (Val Camonica). La variété chronologique, géographique, thématique et typologique de l’objet d’étude a ainsi conduit à définir une série de lignes de recherche qui guident ses travaux : les méthodologies de documentation de l’art rupestre et mobilier, la chronologie de l’art paléolithique en Italie et Azerbaïdjan, la compréhension des dynamiques et des relations culturelles qui ont existé pendant le Paléolithique supérieur (en particulier entre la fin du Dernier Maximum Glaciaire et le début de l’Holocène, selon les différences et  similitudes existant entre les manifestations d’art rupestre et mobilier autour du bassin méditerranéen), les relations existant entre sites d’art rupestre et paysage en termes d’utilisation sociale et économique des territoires.
Ces questions sont également à la base du projet Dec.O. – Decorated Objects of Romanelli Cave, a key site of the late Pleistocene-early Holocene Mediterranean area qu'il mène actuellement en co-tutelle avec le CNR-ISPC (Roma, Italie) grâce au financement de la Fondation Fyssen. Dec.O est réalisé sous la supervision de Camille Bourdier, maîtresse de conférence à l'UT2J et Giulio Lucarini, chercheur au CNR ISPC.

dario.sigari@cnrs.fr

Attachée Temporaire d'Enseignement et de Recherche

20220916_Guillemard_portrait_vignette Iris Guillemard

Iris a réalisé une thèse en cotutelle entre l’Université Paris Nanterre et l’Université du Witwatersrand (Afrique du Sud) sur les systèmes techniques lithiques des derniers chasseurs-cueilleurs d’Afrique du Sud. Sa thèse s’est focalisée sur les industries lithiques Later Stone Age (LSA) des derniers 3 000 ans dans le Bassin du Limpopo. Elle a étudié l’évolution des méthodes et techniques de taille avant et après l’arrivée des agro-pasteurs dans cette région vers AD 300. Elle s’est aussi intéressée aux modalités d’apparition de l’élevage en Afrique australe. Suite à sa thèse, elle a réalisé des séjours postdoctoraux en Afrique du Sud grâce à des financements de l’Institut Français d’Afrique du Sud, de la FMSH, et à l’obtention de la bourse Eugène Fleischmann. Afin de mieux comprendre les systèmes techniques de la fin du LSA, elle a lancé une série d’études sur la séquence Wilton du site de Rose Cottage Cave. Elle a également entamé des analyses sur des assemblages lithiques issus de sites agro-pastoraux afin de voir si différentes traditions techniques pourraient exister dans ces contextes. En janvier 2023, elle rejoindra le projet "Foragers and farmers in a mountain contact zone" dirigé par Pr D. Pearce du Rock Art Research Institute de l’Université du Witwatersrand. Elle étudiera des assemblages lithiques de la période de contact entre chasseurs-cueilleurs et agriculteurs dans le Maloti-Drakensberg. En parallèle de ces activités de recherche, elle donne des cours d’archéologie à l’Université Toulouse – Jean Jaurès en tant qu’ATER, et enseigne différentes disciplines, en particulier la Préhistoire.

iris.guillemard@gmail.com

Maître.sse de conférences

20221114_Bochaton_portrait Sidonie Bochaton

Sidonie Bochaton est archéologue médiéviste. Depuis 2009, elle étudie principalement les établissements de chanoines réguliers de la Savoie médiévale et moderne (France, Suisse et Italie). Après un mémoire de master consacré au prieuré de Meillerie, dont une monographie historique et archéologique a été publiée en 2020, elle a consacré sa thèse de doctorat à deux abbayes de la congrégation d’Abondance : Abondance et Sixt (2021).
Venue à la recherche par la médiation culturelle, Sidonie Bochaton a longtemps travaillé comme guide du patrimoine, conférencière et comme chargée de mission pour des collectivités territoriales qui possédaient un patrimoine médiéval, jusqu’à diriger pendant une année un service Pays d’art et d’histoire (2021-2022). Entre 2014 et 2020, elle a également enseigné diverses matières à l’université Lumière-Lyon 2, Jean Moulin-Lyon 3 et Savoie Mont Blanc, pour laquelle elle dirige actuellement un chantier-école sur le site de l’ancienne abbaye d’Entremont. Elle a rejoint l’université Toulouse 2-Jean Jaurès en tant que maîtresse de conférences en septembre 2022. 
Enfin, Sidonie Bochaton est l’auteure de trois romans historiques qui se déroulent dans la région du Chablais au XIIIe siècle. Basés sur ses recherches, ils visent à partager avec le plus grand monde ses découvertes et à valoriser le patrimoine.

sidonie.bochaton@univ-tlse2.fr

Ingénieur d'étude

20221114_Massu_portrait Laurent Massu

Laurent Massu est ingénieur d’études informaticien CNRS en développement web et bases de données. Il est arrivé en juillet 2022 à TRACES sur mobilité interne. Après un passage en SSII pendant lequel il a découvert le monde de la Recherche en intervenant à l’Institut Pasteur de Paris, il a intégré le CNRS en 2005 dans un laboratoire de recherche en économie (PJSE UMR8545). En 2009, il a effectué une mobilité sur un poste de développeur web à la direction de l’IN2P3 (INS1618) au siège du CNRS. Il y est resté 13 années pendant lesquelles il a participé à l’élaboration de plusieurs projets structurants de système d’informations locaux et nationaux pour l’IN2P3. Au sein de cette direction, il a également été responsable du service Systèmes d’Informations Projets. Son envie de retourner concrètement dans les projets de recherche, associée à ses passions pour l’Histoire et la région toulousaine, l’ont amené à effectuer une nouvelle mobilité à TRACES en 2022. Ses activités au sein de TRACES concernent l’élaboration de bases de données et d’interfaces web pour les besoins des projets d’archéologie, des idées initiales à la réalisation et au suivi, en passant par l’accompagnement de la modélisation et la reprise de bases existantes.

laurent.massu@cnrs.fr