-
Partager cette page
Les Petits Thermes de Briga - P.C.R. Topographie générale et insertion territoriale de la ville de Briga
Responsables
Conseil Scientifique
Présentation du PCR
Situation topographique des "Petits Thermes"
Bref historique des fouilles
Etienne Mantel (SRA de Normandie, UMR 7041 ArScan, coordinateur du P.C.R), Jonas Parétias (doctorant à l’Université de Strasbourg – UMR 7044 Archimède, responsable d’opération sur le théâtre) et Victor Viquesnel-Schlosser (doctorant à l’UT2j – UMR 5608 TRACES, responsable d’opération sur les « Petits Thermes »), avec Corentin Voisin (doctorant à l’Université de Strasbourg – UMR 7044 Archimède).
Institutions partenaires
DRAC (SRA de Normandie), Ville d’Eu, UMR 7041 ArScan, Université de Strasbourg – UMR 7044 Archimède et UMR 7516 IPGS, Université de Toulouse Jean Jaurès – UMR 5608 TRACES, IPGS de Strasbourg.
CollaborateursInstitutions partenaires
DRAC (SRA de Normandie), Ville d’Eu, UMR 7041 ArScan, Université de Strasbourg – UMR 7044 Archimède et UMR 7516 IPGS, Université de Toulouse Jean Jaurès – UMR 5608 TRACES, IPGS de Strasbourg.
Stéphane Dubois (Inrap, UMR 7041 ArScan), Matthieu Richard (Diplômé de Master à l’Université Lille-III, technicien de fouilles), Sylvain Lafargue (ingénieur diplômé de l’INSA Lyon), Bruno Gavazzi (Université de Strasbourg – UMR 7516 IPGS-EOST), Hugo Reiller (Université de Strasbourg – UMR 7516 IPGS-EOST), Pierre-Manuel Weill (Diplômé de Master à l’Université Paris X Nanterre).
Conseil Scientifique
Séverine Blin (Chargée de recherches au CNRS – UMR 8546 AOROC), Thierry Dechezleprêtre (Conservateur du Patrimoine – UMR 8546 AOROC), Jean-Yves Marc (Président du conseil, Professeur d’archéologie et doyen de la Faculté des Sciences Historiques à l’Université de Strasbourg – UMR 7044 Archimède), Laurent Popovitch (Maître de conférences en archéologie à l’Université de Dijon – UMR 6297 ArTeHis), Matthieu Poux (Professeur d’archéologie à l’Université de Lyon-II Lumière – UMR 5138 ArAr).
Présentation du PCR
La fouille menée sur les « Petits Thermes de Briga est intégrée à un Programme Collectif de Recherches coordonné par Etienne Mantel et qui comprend deux autres opérations de terrain.
Les fouilles extensives réalisées ces deux dernières décennies (sous la responsabilité d‘Étienne Mantel, Drac de Normandie) apportent des connaissances fondamentales sur l’agglomération antique de Briga, en particulier sur les monuments publics (lieu de culte, basilique, « salle de conseil »), sur l’habitat (Quartier Nord, îlot IA), et leur périphérie (îlot VIII). La première opération a pour objet l’achèvement de ces dossiers. Le développement de l’agglomération antique nous a amenés à reprendre les investigations sur le théâtre (sous la responsabilité de Jonas Parétias, Université de Strasbourg - Archimède) et les thermes (Victor Viquesnel-Schlosser, UT2J – TRACES), dont l’exploration a été interrompue il y a environ deux décennies. La reprise de ces fouilles devrait permettre de cerner ces ensembles et de les replacer dans leur proche contexte urbain.
La finalisation de l’étude des « Petits Thermes » de Briga s’avère importante pour la bonne caractérisation de ce bâtiment dont le statut privé ou public reste à démontrer. Cette réflexion déjà bien amorcée à leur sujet est avantagée par le bon état de conservation des vestiges, mais aussi par la possibilité de les replacer dans leur environnement urbain, dans lequel se trouve notamment un second balnéaire de dimensions plus importantes à environ 200 m au sud-ouest (les « Grands Thermes »).
Les fouilles extensives réalisées ces deux dernières décennies (sous la responsabilité d‘Étienne Mantel, Drac de Normandie) apportent des connaissances fondamentales sur l’agglomération antique de Briga, en particulier sur les monuments publics (lieu de culte, basilique, « salle de conseil »), sur l’habitat (Quartier Nord, îlot IA), et leur périphérie (îlot VIII). La première opération a pour objet l’achèvement de ces dossiers. Le développement de l’agglomération antique nous a amenés à reprendre les investigations sur le théâtre (sous la responsabilité de Jonas Parétias, Université de Strasbourg - Archimède) et les thermes (Victor Viquesnel-Schlosser, UT2J – TRACES), dont l’exploration a été interrompue il y a environ deux décennies. La reprise de ces fouilles devrait permettre de cerner ces ensembles et de les replacer dans leur proche contexte urbain.
La finalisation de l’étude des « Petits Thermes » de Briga s’avère importante pour la bonne caractérisation de ce bâtiment dont le statut privé ou public reste à démontrer. Cette réflexion déjà bien amorcée à leur sujet est avantagée par le bon état de conservation des vestiges, mais aussi par la possibilité de les replacer dans leur environnement urbain, dans lequel se trouve notamment un second balnéaire de dimensions plus importantes à environ 200 m au sud-ouest (les « Grands Thermes »).
Situation topographique des "Petits Thermes"
Les « Petits Thermes » (sd. 508) sont localisés dans le Quartier Central de l’agglomération (fig. 1). D’une surface d’environ 1500 m², ce sondage représente une large fenêtre d’investigation sur ce quartier. Cet ensemble thermal est situé à environ 145 m en contrebas et à l’est de la grande place, et à 155 m au sud-est du théâtre. Son occupation couvre les IIe et IIIe siècles de notre ère et connaît deux états principaux.
Fig. 1 : Situation des « Petits Thermes » dans Briga, sur une photogrammétrie orientée vers le nord (cliché Altamétris, juillet 2019
Bref historique des fouilles
L’édifice est découvert et partiellement fouillé au XIXe siècle par l’Abbé Cochet qui y reconnaît une habitation avec son système d’hypocauste (Cochet 1872). Plus d’un siècle après, un sondage y a été pratiqué en 1995, préalablement à la mise en place de campagnes de fouilles programmées dirigées par Laurent Cholet (Service Municipal d’Archéologie de la Ville d’Eu) entre 1998 et 2000. Elles conduisent à une réinterprétation des vestiges comme un petit édifice thermal, dont l’emprise (comprenant palestre, portique et cour de service) est estimée à 1020 m². Les murs et aménagements maçonnés ont été relevés en plan et en élévation. Suite à l’interruption des investigations en 2000, les vestiges ont fait l’objet d’une mesure de protection temporaire constituée d’une charpente en bois recouverte de tôles (fig. 2). Le résultats des fouilles des années 1990 paraîtront dans la monographie Briga I, dans laquelle elle est présentée en une cinquantaine de pages (Mantel, Dubois dir., à paraître).
Fig. 2 : Vue aérienne vers le nord-est de la cour sud-ouest des « Petits Thermes ». Le balnéaire est situé sous la protection de tôles métalliques (cliché Benjamin Carles, juillet 2019)
Etat des connaissances actuelles
Premiers résultats
Reprise de la documentation
Achèvement de la fouille de la cour sud-ouest
Bibliographie
L’occupation de ce secteur connaît cinq états successifs reconnus par Laurent Cholet, dont trois liés aux « Petits Thermes » (Mantel, Dubois dir., à paraître). Leur chronologie a été établie par l’étude céramologique de Stéphane Dubois.
Le premier état, identifié au niveau du balnéaire, comprend un apodyterium, un frigidarium, un tepidarium et un caldarium, alignés sud-est/nord-ouest selon un itinéraire rétrograde. Ce corps principal mesure 14 m de long par 5,40 m de large, à l’exception de deux pièces débordantes de la façade sud : la piscina de la salle froide et le solium de la salle chaude. Une chambre de chauffe de 4,50 m par 4,25 m est accolée au mur nord-est du caldarium. L’édification de l’état 1 est datée de la fin du Ier ou du début du IIe siècle de notre ère.
Des aménagements provisoires sont installés durant la phase de travaux liée au premier agrandissement des thermes (état 2a), tel qu’un praefurnium, accolé à la piscina du premier état, la transformant temporairement en caldarium. Pour le balnéaire, différents parements sont employés (silex, tuf et petits moellons de calcaire). Les murs sont relativement larges (0,75 m en moyenne, et 0,6 m pour les refends) et sont supportés par des fondations de craie damée. Les sols, retrouvés en place dans le frigidarium et la piscina, sont composés de mortier de tuileau sur lequel reposaient des éléments de placage, qui ont été pour la majorité récupérés.
Dans la deuxième moitié du IIe siècle (état 2b), le balnéaire est modifié et agrandi, avec l’ajout d’une sudatio et d’un tepidarium. Il donne, au nord-est, sur une cour à péristyle : aire ouverte de 170 m², bordée au nord-ouest, nord-est et sud-est par un portique de 4,50 m de large. Au sud-ouest, le balnéaire est accolé à une cour de service de 380 m² délimitée par un mur qui l’enclot en rognons de silex liés dans une argile brune qui repose sur une fondation de craie damée.
Le troisième état est marqué par l’agrandissement du balnéaire dans la première moitié du IIIe siècle : le caldarium est alors doté d’un second solium et le praefurnium est partiellement reconstruit. À la même période, l’angle sud de la cour de service fait l’objet d’une réfection. Les thermes sont détruits par un incendie au milieu du IIIe siècle
Dans le troisième quart du IIIe siècle (4e état), le mur d’enceinte de la cour de service est partiellement supplanté au sud-est par le Bâtiment 103. La fouille de 2019 a permis de constater que ce dernier fonctionne probablement avec un parcellaire quadrangulaire formé par des poteaux implantés à des distances irrégulières, reprenant partiellement le tracé de la cour précédente.
Un dernier état constitué par une voie orientée sud-ouest / nord-est recoupe les vestiges des thermes. Probablement datable du Moyen Âge, elle est aménagée après une longue période d’abandon.
Le premier état, identifié au niveau du balnéaire, comprend un apodyterium, un frigidarium, un tepidarium et un caldarium, alignés sud-est/nord-ouest selon un itinéraire rétrograde. Ce corps principal mesure 14 m de long par 5,40 m de large, à l’exception de deux pièces débordantes de la façade sud : la piscina de la salle froide et le solium de la salle chaude. Une chambre de chauffe de 4,50 m par 4,25 m est accolée au mur nord-est du caldarium. L’édification de l’état 1 est datée de la fin du Ier ou du début du IIe siècle de notre ère.
Des aménagements provisoires sont installés durant la phase de travaux liée au premier agrandissement des thermes (état 2a), tel qu’un praefurnium, accolé à la piscina du premier état, la transformant temporairement en caldarium. Pour le balnéaire, différents parements sont employés (silex, tuf et petits moellons de calcaire). Les murs sont relativement larges (0,75 m en moyenne, et 0,6 m pour les refends) et sont supportés par des fondations de craie damée. Les sols, retrouvés en place dans le frigidarium et la piscina, sont composés de mortier de tuileau sur lequel reposaient des éléments de placage, qui ont été pour la majorité récupérés.
Dans la deuxième moitié du IIe siècle (état 2b), le balnéaire est modifié et agrandi, avec l’ajout d’une sudatio et d’un tepidarium. Il donne, au nord-est, sur une cour à péristyle : aire ouverte de 170 m², bordée au nord-ouest, nord-est et sud-est par un portique de 4,50 m de large. Au sud-ouest, le balnéaire est accolé à une cour de service de 380 m² délimitée par un mur qui l’enclot en rognons de silex liés dans une argile brune qui repose sur une fondation de craie damée.
Le troisième état est marqué par l’agrandissement du balnéaire dans la première moitié du IIIe siècle : le caldarium est alors doté d’un second solium et le praefurnium est partiellement reconstruit. À la même période, l’angle sud de la cour de service fait l’objet d’une réfection. Les thermes sont détruits par un incendie au milieu du IIIe siècle
Dans le troisième quart du IIIe siècle (4e état), le mur d’enceinte de la cour de service est partiellement supplanté au sud-est par le Bâtiment 103. La fouille de 2019 a permis de constater que ce dernier fonctionne probablement avec un parcellaire quadrangulaire formé par des poteaux implantés à des distances irrégulières, reprenant partiellement le tracé de la cour précédente.
Un dernier état constitué par une voie orientée sud-ouest / nord-est recoupe les vestiges des thermes. Probablement datable du Moyen Âge, elle est aménagée après une longue période d’abandon.
Premiers résultats
La reprise des investigations sur les « Petits Thermes » s’inscrit dans un contexte d’achèvement des fouilles entreprises depuis 2017 et de leur mise en valeur progressive, politique nationale qui incite vivement à achever les secteurs en cours de fouille avant de monter un programme de recherches pluriannuel d'envergure.
La campagne 2019 s’est déroulée selon trois axes de recherche : la reprise de la documentation au printemps, l’achèvement de la fouille de la cour sud-ouest, ainsi que l’évaluation limitée de l’état des vestiges protégés par une structure en bois recouverte de tôles pendant la période estivale (début juillet à début août).
La campagne 2019 s’est déroulée selon trois axes de recherche : la reprise de la documentation au printemps, l’achèvement de la fouille de la cour sud-ouest, ainsi que l’évaluation limitée de l’état des vestiges protégés par une structure en bois recouverte de tôles pendant la période estivale (début juillet à début août).
Reprise de la documentation
La remise à plat de la documentation a nécessité la mise aux normes du P.C.R. de la nomenclature des entités archéologiques. Les relevés en plan, en élévation et les stratigraphies ont fait l’objet d’une vectorisation en conformité avec la charte graphique commune aux trois opérations.
Achèvement de la fouille de la cour sud-ouest
L'achèvement de la fouille sur l'emprise de la cour sud-ouest a permis de vérifier l'absence d'aménagements antérieurs à son implantation dans la toute fin du Ier ou le début du IIe siècle.
La présence dans les niveaux de colluvions d'une importante quantité de silex taillés et de quelques petits tessons protohistoriques va à terme contribuer à nourrir les questionnements liés au début de la fréquentation humaine sur l'extrémité sud du plateau.
Les glissements de terrain ont fortement affecté la cour suite à son installation dans la deuxième moitié du IIe s., comme en témoigne la destruction de l’angle ouest, mur et fondation comprise (fig. 3).
La présence dans les niveaux de colluvions d'une importante quantité de silex taillés et de quelques petits tessons protohistoriques va à terme contribuer à nourrir les questionnements liés au début de la fréquentation humaine sur l'extrémité sud du plateau.
Les glissements de terrain ont fortement affecté la cour suite à son installation dans la deuxième moitié du IIe s., comme en témoigne la destruction de l’angle ouest, mur et fondation comprise (fig. 3).
Fig. 3 : Vue vers le nord-est des vestiges du mur disloqué M1 en cours de relevé. Ils ont été retrouvés en contrebas de la fondation de craie. Au premier plan, sur la gauche, l’angle de cette dernière a complètement disparu en raison des glissements de terrain qui ont touché ce secteur après la première moitié du IIIe s. (cliché Victor Viquesnel, juillet 2019).
Ces phénomènes climatiques constatés ici résonnent avec ceux déjà observés dans le Quartier Nord. Leur prise en considération permettra de continuer cette opération avec un regard averti.
L’environnement des « Petits Thermes » est désormais un peu mieux documenté par la découverte d’une section de voirie située le long du mur nord-ouest de la cour (PT-B).
Le système d’adduction en eau du balnéaire a été partiellement identifié par la mise au jour d’une section du Fossé 4 localisée entre ceux-ci et l’actuelle mare située à 100 m en amont.
Le 4e état, implanté dans le troisième quart du IIIe siècle à la suite de la destruction dans un incendie des « Petits Thermes » apparaît plus organisé que ne le laissant entendre la qualification d’« occupation parasite » (Cholet 2002) qu’il convient d’abandonner. Sa compréhension nécessitera la poursuite de l’opération de terrain en achevant la fouille de la cour située au nord-est du balnéaire, dont même les niveaux superficiels n’ont pas été abordés dans leur totalité.
État sanitaire du balnéaireL’environnement des « Petits Thermes » est désormais un peu mieux documenté par la découverte d’une section de voirie située le long du mur nord-ouest de la cour (PT-B).
Le système d’adduction en eau du balnéaire a été partiellement identifié par la mise au jour d’une section du Fossé 4 localisée entre ceux-ci et l’actuelle mare située à 100 m en amont.
Le 4e état, implanté dans le troisième quart du IIIe siècle à la suite de la destruction dans un incendie des « Petits Thermes » apparaît plus organisé que ne le laissant entendre la qualification d’« occupation parasite » (Cholet 2002) qu’il convient d’abandonner. Sa compréhension nécessitera la poursuite de l’opération de terrain en achevant la fouille de la cour située au nord-est du balnéaire, dont même les niveaux superficiels n’ont pas été abordés dans leur totalité.
Un premier bilan sanitaire dressé cet été pour le balnéaire fait état de sa bonne conservation et permet de constater que la couverture de tôles a joué son rôle protecteur (fig. 4). Quelques dégradations limitées dues aux perturbations climatiques ont cependant été constatées, en particulier dans le tepidarium et la piscina du frigidarium où l’humidité et probablement les épisodes de gel et dégel ont endommagé partiellement une partie des parements.
Fig. 4 : Vue du caldarium en direction du foyer, avec la chambre de chauffe à l’arrière plan (cliché David Geoffroy, juillet 2019).
Cette évaluation sera étendue en 2021 à l'ensemble des espaces qui n’ont pu être observés en 2019 (apodyterium, frigidarium, vestibule) et sera complétée par des relevés pierre à pierre. En particulier, une photogrammétrie du bâtiment sera réalisée dans l’optique de livrer aux autorités responsables le maximum d’éléments leur permettant de décider de la marche à suivre (fig. 5).
Fig. 5 : Modèle 3D du caldarium (à droite) et de la seconde pièce chauffée (à gauche) en cours de réalisation (photogrammétrie Chloé Thorel, d’après les clichés de David Geoffroy, juillet 2019).
Bibliographie
Cochet 1872 : COCHET J. B. D., Journal de Rouen, 27 octobre 1872.
Cholet 2002 : CHOLET L. (dir.), Le sanctuaire gallo-romain du « Bois l’Abbé », Eu – lieu-dit « Bois l’Abbé », Document Final de Synthèse, 2 tomes, 2002.
Mantel, Dubois dir., à paraître : MANTEL É., DUBOIS S. (dir.), avec la coll. de DESCHAMPS L, PARÉTIAS J. et RICHARD M., Briga. Bilan de cinquante années de recherches, Revue archéologique de Picardie, Numéro spécial, Blangy-sur-Bresle, FATRA, à paraître en 2020.
Cholet 2002 : CHOLET L. (dir.), Le sanctuaire gallo-romain du « Bois l’Abbé », Eu – lieu-dit « Bois l’Abbé », Document Final de Synthèse, 2 tomes, 2002.
Mantel, Dubois dir., à paraître : MANTEL É., DUBOIS S. (dir.), avec la coll. de DESCHAMPS L, PARÉTIAS J. et RICHARD M., Briga. Bilan de cinquante années de recherches, Revue archéologique de Picardie, Numéro spécial, Blangy-sur-Bresle, FATRA, à paraître en 2020.
Mise à jour en mars 2020