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1st congress for Women Archaeologists and Paleontologists
Publié le 17 juin 2021 – Mis à jour le 29 juin 2021
du 21 juin 2021 au 30 juin 2021 sur Canal U
Vidéos du colloque organisé par J. Bachellerie, M. Louail, E. Berlioz, A. Galán
Les 8 et 9 mars 2021, à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, a eu lieu le 1st congress for Women Archaeologists and Paleontologists. Plus de quarante jeunes chercheuses ont présenté leurs travaux en visioconférence.
Ces présentations sont désormais disponibles en ligne sur Canal U
Les femmes sont encore minoritaires dans la recherche en France : 35% de femmes parmi les chercheuses et chercheurs dans la recherche publique. Malgré un manque de chiffres, le constat d’une sous-représentation des femmes aux postes de chercheuses CNRS, maîtres de conférences ou professeures est également partagé dans nos disciplines spécifiques. Elles sont en revanche bien plus nombreuses à disposer d’un poste non-permanent et/ou à temps partiel, donc précaire.
Ainsi, les travaux des chercheuses non-titulaires d’un poste permanent contribuent quotidiennement au renouvellement des connaissances sur les populations passées, humaines et non-humaines, et les milieux dans lesquels elles ont vécu. En valorisant leurs récentes contributions, cet événement scientifique sera l’occasion de donner plus de visibilité aux jeunes chercheuses, ainsi que de tisser des liens entre nos deux disciplines, de partager des savoirs, des approches et d’initier des discussions voire des collaborations.
La conférence a traité des récents apports à l’étude des populations et des environnements passés. Elle s’est articulée autour de différents axes :
Les organisatrices :
Plus d'infos : https://womenpaleoarch.sciencesconf.org/
Ces présentations sont désormais disponibles en ligne sur Canal U
Les femmes sont encore minoritaires dans la recherche en France : 35% de femmes parmi les chercheuses et chercheurs dans la recherche publique. Malgré un manque de chiffres, le constat d’une sous-représentation des femmes aux postes de chercheuses CNRS, maîtres de conférences ou professeures est également partagé dans nos disciplines spécifiques. Elles sont en revanche bien plus nombreuses à disposer d’un poste non-permanent et/ou à temps partiel, donc précaire.
Ainsi, les travaux des chercheuses non-titulaires d’un poste permanent contribuent quotidiennement au renouvellement des connaissances sur les populations passées, humaines et non-humaines, et les milieux dans lesquels elles ont vécu. En valorisant leurs récentes contributions, cet événement scientifique sera l’occasion de donner plus de visibilité aux jeunes chercheuses, ainsi que de tisser des liens entre nos deux disciplines, de partager des savoirs, des approches et d’initier des discussions voire des collaborations.
La conférence a traité des récents apports à l’étude des populations et des environnements passés. Elle s’est articulée autour de différents axes :
- Expérimentations, référentiels actualistes, sources anciennes et autres approches méthodologiques
- Territoires, mobilité et (paléo)biogéographie
- Ressources et stratégies d’exploitation
- Changements environnementaux et adaptations biologiques
Les organisatrices :
- Julie Bachellerie : Doctorante en préhistoire à TRACES, ses recherches portent sur les innovations techniques du Paléolithique récent à travers l’exemple des groupes du Solutréen récent. Julie étudie plus spécifiquement les équipements lithiques.
- Emilie Berlioz : Post-doctorante à TRACES et chercheuse associée à PALEVOPRIM, Émilie explore l’écologie alimentaire des cervidés actuels et pléistocènes à partir de leur abrasion dentaire. Elle étudie leurs réponses adaptatives aux changements (paléo)environnementaux.
- Ana Galán-López : Post-doctorante à TRACES et docteure en archéologie, Ana est spécialiste des stratégies de subsistance du Paléolithique moyen et supérieur. Elle étudie actuellement l’écomorphologie du renne grâce à une bourse Marie Curie (projet Emorph).
- Margot Louail : Doctorante à PALEVOPRIM, Margot s’intéresse à l’influence de l’alimentation sur la sélection des caractères dentaires chez les suidés et primates fossiles. Elle étudie les données dentaires de porcs avec des alimentations contrôlées différentes.
Plus d'infos : https://womenpaleoarch.sciencesconf.org/