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Membre associé
Emmanuelle MEUNIER
Membre associéCoordonnées
- Adresse
- Laboratoire TRACES UMR 5608 Université Toulouse Jean Jaurès Maison de la Recherche 5, allées Antonio MACHADO 31058 Toulouse Cedex 9
- Tél
- 06 18 54 73 18
- emmanuelle_m@hotmail.fr
Corps
Discipline(s)
Thèmes de recherche
Mes recherches portent sur l’exploitation minière et sur ce que cette activité sous-tend en termes de pré-requis environnementaux, techniques et socio-économiques. J’aborde cette thématique à travers l’étude du district à cuivre argentifère du Massif de l’Arize (Ariège), exploité entre le IVe s. av. J.-C. et la période augustéenne. La datation des travaux, l’étude des techniques employées et la mise en évidence des schémas d’organisation de l’activité contribuent à caractériser le contexte dans lequel l’exploitation a pris place. Pour la période des IVe et IIIe s. av. J.-C., les données concernant les mines viennent compenser en partie la rareté des données archéologiques. La poursuite des exploitations jusqu’à la fin du Ier s. av. J.-C. permet également d’aborder, à travers les évolutions et permanences décelées dans la conduite des exploitations, la question des rythmes et du degré d’intégration par les populations minières des changements intervenant à la transition entre âge du Fer et période romaine.
Activités / CV
Travaux en cours :
Thèse : Evolutions dans l’exploitation minière entre le second âge du Fer et l’Antiquité dans le Sud-Ouest de la Gaule. Le cas du district pyrénéen à cuivre argentifère du Massif de l’Arize
Direction : Béatrice Cauuet et Jean-Paul Métailié
Opérations de terrains :
- Prospection thématique 2014-2017 : L’exploitation ancienne du cuivre argentifère dans le Séronais (Ariège).
- Participation à l’étude de la mine de la Rambla del Abenque (La Unión – Cartagena – Espagne) dans le cadre du projet dirigé par C. Rico, J.-M. Fabre, J. Antolinos, de 2010 à 2014.
- Étude préliminaire de la mine d’étain antique de Vale do Mouro, Coriscada (Portugal). En collaboration avec Elin Figueiredo, Tony Silvino et Antonio Sá Coixão en 2015.