Associations partenaires

Association de Promotion et d’Aide à la Recherche En Archéologie (APAREA) : fondée en décembre 2005, au sein de l’Université Toulouse Jean-Jaurès, notre association étudiante se propose d’encourager la promotion de l’archéologie auprès des étudiant·e·s et du grand public. Elle a pour objectif de favoriser les relations et l’entraide étudiantes et professionnelles, pour former une communauté archéologique large. Elle met en place des initiations à la médiation lors d’événements culturels (Semaine de de l’Antiquité, Forum de l’archéologie à Castres, JNA), des expositions et des interventions des établissements scolaires. Elle organise des animations autour de la section archéologique de l’Université de Toulouse par l’organisation de visites de sites archéologiques ou de musées régionaux. Elle propose plusieurs Café-Archéo mensuels qui permettent un échange entre des acteur·rices de l’archéologie et des étudiant·es. L’association diffuse sa propre revue, le BAPAREA, contenant des articles de chercheurs et d’étudiants ainsi que d’autres sujets autour de l’archéologie.

L’association ARCA Archéologie de la Corne de l’Afrique a été créée en septembre 2011 dans le but de promouvoir et d’encourager toute action susceptible de développer l’étude, la protection et la valorisation du patrimoine archéologique de la Corne de l’Afrique. Bien qu’ayant son siège social en France, l’association intervient dans les pays de la Corne de l’Afrique qui accueillent les missions archéologiques françaises. L’association comprend parmi ses membres des archéologues et étudiants français, djiboutiens et somalilandais ainsi que des personnes non professionnelles, mais intéressées par ses objectifs. L’Association ARCA soutient spécialement le programme PSPCA Premières Sociétés de Production dans la Corne de l’Afrique du laboratoire TRACES, dans ses missions et notamment dans le cadre de ses actions de promotion de la recherche archéologique dans la Corne de l’Afrique, à Djibouti.

Xavier Gutherz, président
Jessie Cauliez, trésorière

L'association archéologies répond depuis plus de 25 ans à des besoins exprimés par les archéologues dont beaucoup sont rattachés à TRACES. Elle aide des projets à exister et en facilite le déroulement ; elle permet également à des chercheurs et chercheuses non-statutaires de trouver l’appui d’une structure.

En évolution constante, elle contribue actuellement à la recherche archéologique en :

• portant des projets (en totalité ou en partenariat) : opérations de terrain, études, prépublications, colloques, etc. ;
• assurant ses responsables d’opérations archéologiques pour les fouilles, relevés d’art, prospections, études de mobilier, etc. ;
• salariant des chercheurs et chercheuses ou payant des prestataires, pour mener des études, réaliser des analyses, créer des bases de données ou autres outils de recherche, préparer des publications, etc. ;
• mutualisant du matériel acquis (don ou achat) et en le mettant à disposition de ses membres spécialistes ;
• aidant financièrement sur ses fonds propres, des projets de recherche.

D’abord créée en 1976 à Carcassonne sous le nom de Centre d’Etudes Médiévales du Midi pour promouvoir l’archéologie médiévale dans le Midi de la France, l’association prend ensuite le nom de Centre d’Archéologie Médiévale du Languedoc (CAML) en 1978. Elle regroupe des historiens, des historiens de l’Art et des archéologues, professionnels ou amateurs. Son activité principale est l’édition et la diffusion d’ouvrages d’archéologie et d’histoire médiévales. Si le Moyen Âge constitue la période principalement étudiée, celle-ci est comprise au sens large intégrant ses rapports avec la Basse Antiquité (IV^e-V^e s.) et l’Epoque moderne (XVI^e-XVIII^e s.).
Le CAML. est à l’origine, en 1983, de la revue interrégionale Archéologie du Midi Médiéval (AMM) qui n’a jamais cessé de paraître depuis, et qui a toujours été soutenue par le Ministère de la Culture. Cette publication annuelle est venue palier un réel besoin à une époque où l’archéologie médiévale prenait corps, pour permettre aux archéologues médiévistes méridionaux de faire connaître et de confronter leurs travaux. Depuis 1996, une collection de Suppléments complète les tomes de la revue AMM.

Depuis plusieurs décennies, les contraintes administratives ne font que croître et les archéologues impliqués dans les recherches programmées sont de moins en moins nombreux. Cette tendance a connu un paroxysme en 2022 avec une baisse draconienne annoncée des crédits du ministère de la Culture sans qu’aucun des acteurs (y compris les agents du Ministère) n’en soit averti. Cette situation a abouti à la création de la Fédération de la Recherche Archéologique Programmée (FRAP), qui rassemble un collectif de professionnels, d’étudiants et d’associatifs, afin d’en fédérer les acteurs et actrices pour contribuer à améliorer la situation.
Alors que la recherche programmée constitue l’une des forces majeures de l’archéologie française, tant en termes de production scientifique qu’en termes de formation, le fait est que les responsables de ces recherches ne sont jamais représenté·e·s en tant que tel·le·s dans les instances de la recherche archéologique, ni en France ni à l’étranger.
L'objectif n’est en aucun cas d’opposer entre eux les différents acteurs de l’archéologie programmée, ni d’opposer archéologie programmée et archéologie préventive : il est au contraire de permettre la mise en place d’un dialogue constructif entre tou·te·s afin d’améliorer les pratiques et collaborations.
Une tribune avait été publiée dans le journal Le Monde en février 2022.

e-mail : contact@frap-archeo-prog.org

Grottes&Archéologies est une association loi 1905, crée en 2014, par des scientifiques et des professionnels de la médiation. Elle a pour but de créer, susciter, soutenir et promouvoir les actions de recherches, d’études, de valorisation et de médiation de l’archéologie et des sciences connexes.
Sur le volet scientifique, elle contribue à valoriser et à mettre en lumière la recherche sur le terrain et en laboratoire. Elle offre un soutien logistique, technique ou financier aux opérations de fouilles, aux prospections thématiques et à tous les chercheurs et chercheuses. Elle suit, gère la comptabilité et assure la communication des missions qui le désirent.
L’association s’adresse à tout public, du plus petit au plus grand,avec une attention toute particulière dans le développement de projets de médiation à destination de publics dits empêchés. Elle s’engage dans des projets innovants, liés à des préoccupations sociales, auxquelles  les sciences peuvent apporter une contribution pour former le regard critique et curieux de tous les publics, favoriser la participation de chacun dans la vie de la société, dans le partage et le respect.
Des phases de terrain à la conception d’ateliers pour les enfants, suivez-nous dans nos travaux, pas à pas, d’ici à l’autre bout du monde !

L'association Mégalithes et Sociétés Néolithiques, MégaNéo, a été créée en 2016. Son siège est installé à Tusson (Charente), non loin des plus longs tumulus d’Europe. MégaNéo regroupe à la fois des professionnels, des étudiants, des médiateurs, mais aussi de nombreux amateurs et passionnés de la période néolithique et du phénomène mégalithique. Elle soutient la recherche archéologique sur cette thématique, à travers l’étude du mégalithisme (tombes, menhirs et art pariétal) et des différents témoignages des sociétés néolithiques (habitats, culture matérielle, économie, environnement), et diffuse ses résultats à la communauté scientifique et au grand public. Les premiers travaux de recherche se sont tout d’abord focalisés sur le Centre-Ouest de la France. Aujourd’hui, la zone de recherche s’est élargie et MégaNéo intervient dans quatre régions (Pays-de-la-Loire, Nouvelle Aquitaine, Occitanie et Bretagne), mais aussi en Éthiopie depuis 2018. En Occitanie, de nouvelles recherches sont menées sur le mégalithisme et les grottes sépulcrales du Quercy (Lot et Aveyron).
La reprise des archives documentaires, les prospections multi-méthodes puis la fouille archéologique permettent à cette association d’acquérir de nouvelles connaissances sur l’occupation néolithique des territoires étudiés. L’accueil de tous les publics lors des opérations de fouilles pour des visites et des animations permet de rendre compte en temps réel des nouvelles connaissances à la population locale. Sa mission première est de transmettre leur savoir afin de protéger ce patrimoine fragile et menacé. Des ateliers, des sorties pédagogiques, des formations, mais aussi des conférences sont proposées toute l’année afin de diffuser le savoir acquis lors des travaux de recherche, mais aussi, et surtout de sensibiliser sur la fragilité de ce patrimoine mégalithique oublié et encore si méconnu.

La Société de Conservation, d’Histoire du Littoral, d’Archéologie et de Géologie (SCHLAG) a pour objectif le développement et le soutien à la recherche archéologique. Son terrain d’action vise principalement le patrimoine littoral du massif armoricain à travers l’Histoire, l’Archéologie et la Géologie, dans une optique de valorisation culturelle.

La Société Archéologique du Midi de la France, fondée en 1831 à l’initiative d’Alexandre Du Mège et du marquis de Castellane qui en fut le premier président, a pour but d’étudier et de faire connaître les « monuments » du Midi de la France. Reconnue d’utilité publique par décret du 10 novembre 1850, elle réunit des historiens, des historiens de l’art et des archéologues dont les travaux sont publiés dans un volume annuel de Mémoires. Bon nombre des sociétaires sont membres de TRACES, à commencer par la présidente actuelle.
Société académique, la Société Archéologique du Midi de la France se réunit d’octobre à juin deux fois par mois : les séances privées sont l’occasion d’entendre des communications scientifiques présentées par ses membres, d’échanger des informations ou de débattre de questions diverses concernant l’étude, la conservation ou la restauration du patrimoine. Les comptes rendus des séances sont publiés dans un bulletin annexé au volume des Mémoires. Depuis 1997, ils sont régulièrement mis en ligne pendant l’année, en version de prépublication, sur le site Internet de la Société.